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Carnets de sciences
Chronophotographie
La chronophotographie est le terme historique qui désigne une technique photographique qui permet de prendre une succession de vues à intervalle de temps fixé en vue d’étudier le mouvement de l’objet photographié.
L’invention de cette technique est attribuée à Eadweard Muybridge qui, avant l’utilisation d’un appareil unique, photographia en 1878 le galop d’un cheval à l’aide d’une succession d’appareils disposés le long du trajet. Muybridge qui à la suite d’un pari avec le milliardaire Stanford sur la véracité des expériences menées par Étienne-Jules Marey. Ce dernier a utilisé cette technique avec un « fusil photographique » en 1882 pour reconstituer le mouvement des oiseaux en vol.
Le fusil photographique utilisait une plaque circulaire qui avançait d’un angle constant à chaque fermeture d’obturateur. En 1889, Marey utilisa la pellicule souple.
Albert Londe utilisa également ce procédé.
Clés pour comprendre
Cette collection des éditions Quae est constituée de livres de petit format, répondant de façon simple aux questions que vous pouvez vous poser sur un sujet précis.
Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales
Ginkgo Biloba
Le Ginkgo Biloba est l’un des plus vieux arbres existant encore à notre époque. Il est d’une résistance extraordinaire, mais son mode de reproduction et sa croissance lente l’auraient condamné à une disparition certaine.
Heureusement, sa résistance à la pollution en fait le chéri des grandes agglomérations (Uniquement les pieds mâles, les ovules produits par les pieds femelles dégageant une forte odeur d’égout) et l’industrie pharmaceutique lui a découvert des propriétés intéressantes. Il est pourtant probable que nous ne verrons plus jamais de bosquets de ginkgo biloba dans aucune forêts du monde.
Après avoir été présent dans le monde entier, son espace s’est lentement réduit au point qu’on ignore s’il existe encore des ginkgo sauvages.
Énormément cultivé comme plante ornementale, des produits pharmaceutiques en sont aussi extraits.
Voici quels lien pour en apprendre un peu plus sur le ginkgo :
Sur gloubik :
- Le Ginkgo Biloba ou Arbre aux Quarante Écus, J. POISSON - La Nature N°1107 - 18 Aout 1894
- Les plantes du passé : Le « Ginkgo », Marcel Blot - La Nature N°2057 - 26 Octobre 1912
- Les variations morphologiques d’un type de plantes : Les ancêtres directs et les races sœurs ainées du Ginkgo actuel, Gaston de Saporta - La Nature 1882
Vous pouvez aussi trouver de nombreuses informations dans le livre de Pierre-François Michel Ginkgo Biloba
Ginkgo Biloba
Le Ginkgo Biloba est l’un des plus vieux arbres existant encore à notre époque. Il est d’une résistance extraordinaire, mais son mode de reproduction et sa croissance lente l’auraient condamné à une disparition certaine.
Heureusement, sa résistance à la pollution en fait le chéri des grandes agglomérations (Uniquement les pieds mâles, les ovules produits par les pieds femelles dégageant une forte odeur d’égout) et l’industrie pharmaceutique lui a découvert des propriétés intéressantes. Il est pourtant probable que nous ne verrons plus jamais de bosquets de ginkgo biloba dans aucune forêts du monde.
, l’arbre qui a vaincu le temps aux éditions du félin.
Idées fausses
Petite collection des éditions Quæ ne comportant, au début 2022, que 4 titres.
Le principe est simple : un(e) scientifique spécialiste du sujet prouve la fausseté d’idées préconçues qui circulent sur tel ou tel groupe d’animaux. Tous les sujets sont abordés de leur mode de vie à leur dangerosité en passant par les légendes qui circulent ici ou là à travers le monde.
Pour les découvrir, rien de plus simple. Consulter les articles que nous avons consacrés aux volumes en notre possession ou aller jeter un œil sur le site de l’éditeur : Collection Idées fausses
pierre ollaire
Terme de minéralogie, variété de serpentine ; c’est-à-dire du silicate de magnésie hudraté qui forme parfois des masses ou des couches considérables dans les terrains de transition ; elle est toujours à la base des amas serpentineux, et ne renferme jamais ni fossiles, ni filons métallifères. Elle rappelle les propriétés physiques du talc ; sa cassure est à la fois cireuse et esquilleuse, elle est le plus souvent verte, rarement rouge ; elle n’est presque pas dure, sa densité est de 2,6. On s’en sert pour faire des marmites, des poêles, des fourneaux et autres objets, qui résistent d’autant mieux à l’action du feu qu’ils sont infusibles et durcissent par son action prolongée. C’est cette propriété du reste qui a fait donner à cette variété de serpentine le nom de pierre ollaire
pierre ollaire
Terme de minéralogie, variété de serpentine ; c’est-à-dire du silicate de magnésie hudraté qui forme parfois des masses ou des couches considérables dans les terrains de transition ; elle est toujours à la base des amas serpentineux, et ne renferme jamais ni fossiles, ni filons métallifères. Elle rappelle les propriétés physiques du talc ; sa cassure est à la fois cireuse et esquilleuse, elle est le plus souvent verte, rarement rouge ; elle n’est presque pas dure, sa densité est de 2,6. On s’en sert pour faire des marmites, des poêles, des fourneaux et autres objets, qui résistent d’autant mieux à l’action du feu qu’ils sont infusibles et durcissent par son action prolongée. C’est cette propriété du reste qui a fait donner à cette variété de serpentine le nom de pierre ollaire.
source : Dictionnaire encyclopédique et biographique de l’industrie et des arts industriels, t. 6 — Libraire de dictionnaires, 1886.
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source : Dictionnaire encyclopédique et biographique de l’industrie et des arts industriels, t. 6 — Libraire de dictionnaires, 1886.