L’exposition de l’Australie occidentale était certainement des plus curieuses par la beauté de ses produits parmi lesquels il y avait lieu de signaler les bois et l’or. Les échantillons de bois de Kari étaient aussi remarquables que les pépites offertes au regard du public étaient volumineuses. On y voyait encore une collection des plus nombreuses de ce projectile particulier, en forme d’arc de cercle, appelé boomerang, si terrible entre les mains habiles des indigènes et de superbes pointes (…)
Accueil > Articles scientifiques > La science dans l’art > La joaillerie
La joaillerie
-
Une curieuse perle fine
26 janvier 2011, par Denis Blaizot -
La joaillerie dans les temps modernes
28 février 2009, par Lydie BlaizotLe XVIIe siècle est, pour la joaillerie, une grande époque ; elle envahit complètement la bijouterie. Cet engouement extravagant pour les pierreries avait commencé, ainsi que nous l’avons vu dans un précédent article, sous les derniers Valois.
Les traditions d’art des grands orfèvres de la Renaissance semblent alors perdues ; les bijoux ne sont plus ciselés, ils n’ont plus d’autre valeur que celle des gemmes dont ils sont formés.
Ce n’est pas seulement en bijouterie qu’on abuse des (…) -
La joaillerie actuelle
28 février 2009, par Lydie BlaizotLa joaillerie, après une éclipse de quelques années pendant la Révolution, se ranime un peu sous l’Empire et prend un développement plus considérable encore sous la Restauration. C’est l’époque des Biennais, des Benière, des Petiteau, des Morel. Pendant le règne de Louis-Philippe, ces artistes sont remplacés par d’autres au moins aussi habiles, tels que Charles Wagner, Froment-Meurice, dont les charmantes productions sont répandues dans le monde entier. C’est aussi l’époque où Rudolphi se (…)
-
Le diamant en joaillerie
28 février 2009, par Lydie BlaizotDe nombreux articles ont été déjà publiés par la Science illustrée sur le diamant. Les uns se rapportent aux mines dans lesquelles on recueille le précieux minéral, d’autres à son mode de formation, à sa taille, à sa gravure, à sa fabrication artificielle, etc. Nous y renvoyons le lecteur, voulant nous borner aujourd’hui à un exposé rapide du rôle du diamant en joaillerie à travers les âges.
Les anciens connaissaient cette pierre et savaient qu’elle ne peut se tailler que par le (…) -
La joaillerie pendant la renaissance
28 février 2009, par Lydie BlaizotNous avons vu avec quelle profusion les pierres précieuses étaient employées au moyen âge (voir les n°562 et 563) non seulement dans l’orfèvrerie civile et religieuse, mais encore dans la parure. Pendant toute la première moitié du XVIe siècle, elles sont, au contraire, presque bannies du bijou, orné seulement de ciselures. La matière n’est plus rien, au cours de cette période qui correspond à un si merveilleux épanouissement de l’art sous toutes ses formes ; seul le travail de (…)
-
La joaillerie au moyen-âge
28 février 2009, par Lydie BlaizotAu commencement du IVe siècle, Constantin se convertit an christianisme et fonde, sur les ruines de Byzance, la ville qui porte encore son nom. Ce prince, qui croyait simplement donner une seconde capitale au vaste empire romain, établit, par le fait, un empire nouveau et inaugure, en quelque sorte, une nouvelle civilisation qui atteint son apogée vers le milieu du VIe siècle, sous le règne de Justinien.
Avec l’art byzantin apparaît l’art chrétien. Les empereurs d’Orient font construire (…) -
La joaillerie dans l’antiquité
28 février 2009, par Lydie BlaizotIl est impossible de séparer nettement l’orfèvrerie dé la bijouterie et de la joaillerie. L’orfèvre est l’artisan qui met en œuvre l’or et les autres métaux précieux quelle que soit la destination du produit de sont travail ; le bijoutier fabrique les objets d’or et d’argent devant servir d’ornements personnels, particulièrement aux femmes ; le joailler emploie l’or et l’argent pour la monture des pierres précieuses ; il fabrique, lui aussi, des bijoux quand les caprices de la mode (…)
-
Les perles
28 février 2009, par Lydie BlaizotLes perles sont produites par un grand nombre de mollusques lamellibranches, mais on n’en trouve d’une manière régulière et rémunératrice que dans les coquilles de quelques espèces. Les plus belles proviennent de la Pintadine ou Avicule perlière (Meleagrana margaritifera), qu’on trouve sur les côtes de Chine, aux Indes, dans la mer Rouge, à Tahïti. L’huître perlière (Meleagrina radiata) se trouve dans les mêmes parages. Certaines coquilles d’eau douce fournissent des perles assez estimées, (…)