Afrique

Général Faidherbe, La Revue Scientifique — 15 novembre 1884

Conférence faite par Édouard Foà à la Société des Études coloniales et maritimes, le 22 février 1899

De l’intérieur de Madagascar D’après le révérend Ellis, nous avons hasardé quelques mots sur l’intérieur de Madagascar, pays presque inconnu et à propos duquel on peut hardiment répéter le proverbe : A beau mentir qui vient de loin ; ces quelques mots nous ont valu la bonne fortune de (...)

M. Édouard Foà, qui commence à se faire un nom dans la science, continue ses explorations dans l’Afrique centrale, où il est retourné en 1894,. Le livre qu’il vient de publier à la librairie Plon et Nourrit (Du Cap au lac Nyassa) se rapporte au séjour qu’il a fait dans le bassin du Zambèze de (...)

M. Édouard Foà, alors que nous contions son voyage sur les bords du Zambèze [1] , était déjà retourné en Afrique avec l’arrière-pensée de traverser à pied tout le continent noir, de l’Est à l’Ouest. Ce rêve, longtemps caressé, il a fini par pouvoir le réaliser presque complètement. Et il vient (...)

C’est avec plaisir que nous relatons l’important voyage que vient d’accomplir en Afrique notre compatriote le capitaine Trivier. Depuis les belles explorations de M. de Brazza dans la région du Congo inférieur et de l’Ogôoué, il ne nous avait pas été donné d’enregistrer dans le bassin du Congo (...)

I- DÉCOUVERTES RÉCENTES DE LIVINGSTONE. En 1866, l’infatigable docteur Livingstone retourne en Afrique, déterminé à compléter nos connaissances si imparfaites encore sur la région des lacs du Nyassa au Tanganyika, et commence le voyage dont il n’est pas encore de retour. En septembre 1866 (...)

I L’idée de relier la Méditerranée à la Mer Rouge remonte à la plus haute antiquité. Quinze siècles environ avant notre ère, cette idée avait déjà été réalisée par l’exécution d’un canal qui mettait en communication le Nil avec la mer Rouge, C’était une déviation, en amont de Bubastis de la (...)

L’Afrique Équatoriale française aime à se dire, non sans gloriole, « la Cendrillon des Colonies françaises ». Il est de toute évidence que, la colonisant, nous avons dû parer d’abord au plus pressé. La tâche à accomplir était considérable, remplie de difficultés, presque sur-humaine. Son (...)

Selon le récent rapport de M. J. Dybowski, il s’opère une diminution progressive du peuplement forestier, dans l’ensemble de régions qui forment le Soudan. En même temps s’affirme une modification du climat. La déforestation, en effet, dessèche à la fois l’air et le sol ; bientôt il se forme (...)

Revenir en haut