Armement du Moyen Age et de la renaissance
- Samedi 28 février 2009 L’origine du lis héraldiquepar Lydie Blaizot
Quelle est l’origine du motif décoratif qui a joué un si grand rôle en France sous le nom de fleur de lis ? Résulte-t-il de la simplification d’une fleur, d’une feuille, de toute autre production naturelle ou, au contraire, d’un objet inanimé ? A-t-il pris naissance sur le sol français ? Y a-t-il été (...)
- Vendredi 27 février 2009 Les cottes de maillespar Lydie Blaizot
On désigne ordinairement sous le nom de cotte de mailles toute défense de corps assez souple en forme de chemise. En réalité il y a lieu de distinguer la broigne et la chemise de mailles ou haubert qui lui est bien postérieure. La broigne est une tunique faite d’un tissu quelconque, sur lequel (...)
- Dimanche 22 février 2009 Les hallebardespar Lydie Blaizot
La hallebarde est une arme d’hast d’origine suisse qui fut introduite en France vers le milieu du règne de Louis XI, en 1470. C’est une sorte de lance à fer très long portant, transversalement, une hache ou un croissant qui se prolonge souvent, du côté opposé, par une pointe, un croc ou un marteau ; (...)
- Samedi 21 février 2009 Le bouclierpar Lydie Blaizot
Le bouclier est certainement la pièce la plus ancienne de l’armure. Il vint tout naturellement à l’esprit des premiers combattants de se préserver du choc des traits, du tranchant de la hache par un abri portatif. Son invention n’a pas coûté beaucoup d’efforts aussi le trouve-t-on chez tous les (...)
- Samedi 21 février 2009 Heaumes et bassinetspar Lydie Blaizot
L’armure de tête, qui avait atteint, dans l’antiquité, une assez grande perfection, décline en même temps que l’empire romain ; les batteurs d’armures, aux premiers siècles de l’ère chrétienne, ne sont plus capables de forger des casques d’une seule pièce ; ils ne savent qu’assembler, plus ou moins bien, (...)
- Samedi 21 février 2009 Armures de joute et de parementpar Lydie Blaizot
On nommait jadis armures de parement celles qui, destinées surtout à la parade, se couvraient de gravures, de ciselures, d’incrustations. Quant aux armures de joute, souvent aussi très luxueuses, elles comprenaient des pièces doublées et renforcées surajoutées à l’armure ordinaire. Il faut du reste (...)
- Samedi 21 février 2009 L’apogée et le déclin de l’armurepar Lydie Blaizot
Nous avons vu quelles étaient les différentes parties de l’armure au début du XVe siècle. Elle va devenir d’abord plus résistante, plus close et plus légère, mais bientôt le perfectionnement des armes à feu obligera à l’alourdir à tel point que le soldat renoncera à la porter, préférant les risques d’une (...)
- Samedi 21 février 2009 Les débuts de l’armure de platespar Lydie Blaizot
L’armure dont nous voulons nous occuper est l’armure complète d’acier battu, ajustée au corps, articulée de façon à permettre tous les mouvements. Cette armure, qui fait de l’homme de guerre une véritable statue d’acier, n’apparaît qu’à la fin du moyen-àge. L’antiquité grecque et romaine n’a employé que (...)