Météorologie et climatologie

Conférence à la Société météorologique de France Messieurs, En vous présentant mes études sur le climat de l’Alsace et des Vosges [1], je vous prie de vouloir bien m’autoriser à vous exposer les principaux résultats de ce travail. Chacun sait que le climat d’un pays dépend surtout de sa (...)

Certaines régions de l’Amérique, la Louisiane, la Floride notamment, sont spécialement visitées par des ouragans terriblement destructeurs. Parfois l’Europe paye son tribut à ces effrayantes perturbations météorologiques, mais les annales n’enregistrent rien de semblable ni de comparable en (...)

Il y a quelque temps, M. Charles Rabot annonçait ici-même [1], le retour de la Mission scientifique austro-hongroise, établie à l’ile Jan-Mayen sous le 71° de latitude nord, depuis le mois de juillet 1882. Le détail des observations rédigées conformément au programme de la Conférence polaire (...)

On donne ce nom à la période de temps qui s’écoule entre la nouvelle Lune d’avril et la nouvelle Lune de mai et qui,en 1895, fut du 25 avril au 24 mai [1]. On la nomme ainsi parce que l’on trouve au lever du soleil, après des nuits claires et froides, un certain nombre de jeunes pousses (...)

Le ciel est indécis. Pleuvra-t-il ? Ne pleuvra-t-il pas ? On jette un coup d’œil sur le baromètre accroché à la muraille, il marque : Beau temps. Gaiement on sort, laissant à la maison l’encombrant parapluie, et l’on reçoit une superbe averse ! C’est qu’en effet, il est faux que la hauteur (...)

La température de 39,8° obtenue le vendredi 27 juillet 1900, à Châteaudun, sous l’abri Renou, à double toit, et de 38,7° lue au même moment, au thermomètre fronde, à l’air libre et à l’ombre, est sans contredit la plus haute qu’on ait jamais constatée authentiquement dans la région de Paris ; (...)

Le beau temps ne règne pas constamment à Nice, et la pluie y vient quelquefois interrompre « l’éternel printemps sous un ciel toujours bleu » rêvé par les poètes. C’est d’ailleurs fort heureux, car le beau temps perpétuel tue la végétation, chasse l’homme, et crée le désert. Il pleut donc à (...)

La météorologie et la physique du globe tiennent à l’Exposition une place assez importante. En plus du pavillon spécialement consacré aux exposants français, et que l’on aperçoit dans le jardin du Trocadéro, non loin des bâtiments des forêts et de l’Algérie, nombre de constructeurs de notre (...)

Du grand hôtel du Cap, situé à la pointe occidentale du promontoire d’Antibes, voici ce dont j’ai été témoin le 21 novembre 1876. Sur la Méditerranée, à une distance qui semblait d’environ 40 kilomètres, à l’endroit même où se lève le soleil, à gauche de la Corse, apparaissait un banc nuageux, (...)

L’examen de l’Annuaire météorologique et agricole de l’Observatoire de Montsouris (1876, 1888) et les données publiées dans la Revue Scientifique de 1887 à 1900 (parc Saint-Maur) inclusivement nous ont permis de dresser le tableau ci-joint : AnnéesMinimumDatesMaximumDates 1801 - 10°,1 13 (...)

Ces bilans ont été publiés dans les revues La Nature et Revue Scientifique

La Revue Scientifique a publié toutes les semaines de 1886 à 1914 des bulletins météorologiques. Ces bulletins étaient un résumé du Bulletin international du Bureau central météorologique de France. Ils sont accompagnés ici d’une partie des bulletins de La Nature pour compléter au mieux la série.

Tableau par ordre chronologique depuis le XVe siècle des hivers, des étés et des crues de la Seine remarquables
Revenir en haut