Météorologie et climatologie

Si nous essayons de jeter un coup d’œil d’ensemble sur l’époque quaternaire, nous demeurons frappés moins de la variété et des grandes dimensions des animaux terrestres, que des phénomènes physiques et climatériques qui ont marqué cette période. Une légitime curiosité nous invite à en (...)

Dans presque toute la France, l’année 1906 a été remarquable par la persistance du beau temps, par la rareté des pluies, par des chaleurs excessives et prolongées. Elle sera surtout mémorable grâce à une sécheresse dont la durée et l’intensité ont varié avec les localités ainsi qu’avec les (...)

Orages du 28 mars 1888 dans le département du Puy-de-Dôme On admet généralement, d’après les études qui ont été publiées sur les orages, que la marche de ceux-ci est régulière sur un long parcours. Les cartes dressées à ce sujet, soit qu’elles concernent un département, soit qu’elles (...)

Le phénomène de la pluie subit, dans chaque pays et pendant le cours d’une année, des variations diverses, plus ou moins régulières et périodiques, qu’une longue série d’observations met en évidence. Les courbes de la figure 1 représentent ces variations, considérées sous le double rapport de (...)

La plupart des stations météorologiques françaises n’effectuent chaque jour qu’une seule mesure de la pluie. A l’observatoire du Puy-de-Dôme on possède, pour une période de dix années, de 1875 à la fin de 1894, des observations pluviométriques effectuées toutes les trois heures depuis 6 heures (...)

En octobre 1891, Thomas George Hodgkins esq., de Setauket (New-York), fit à l’Institution smithsonienne de Washington, société savante la plus renommée des États-Unis, une donation considérable dont le revenu doit être pour une large part employé à « l’accroissement et à la diffusion de (...)

On peut lire dans tout calendrier : 24 juillet, j. c, et 26 août, f. j. c. Ce qui signifie que les jours caniculaires commencent le 24 juillet et prennent fin le 26 août. Le calendrier ne se sera pas trompé cette fois. La canicule ne passera pas inaperçue en 1893. Elle a débuté gentiment, avec (...)

D’après Nature du 7 mai 1903. M. W. Lockyer vient, sous ce titre, de publier une note que nous croyons utile de reproduire dans ses traits essentiels : « Le fait, dit-il, que, pendant les dix dernières années au moins, la quantité d’eau tombée dans les diverses régions de la surface du globe (...)

Au début de l’hiver 1901-1902, les lecteurs de La Nature liront peut-être avec quelque intérêt une esquisse météorologique de l’hiver de 1801-1802. Nous en donnons ci-dessous les traits principaux d’après les manuscrits d’Adanson. Décembre 1801 — Ce mois a été peu froid de 4 degrés moiens (...)

M. Hoffmeyer, le savant directeur de l’Institut météorologique danois, vient de publier un mémoire très intéressant où il examine la possibilité de prévoir le temps à plus longue échéance à l’aide d’un réseau télégraphique convenablement disposé. Tout d’abord l’auteur rappelle que dans notre (...)

Ces bilans ont été publiés dans les revues La Nature et Revue Scientifique

La Revue Scientifique a publié toutes les semaines de 1886 à 1914 des bulletins météorologiques. Ces bulletins étaient un résumé du Bulletin international du Bureau central météorologique de France. Ils sont accompagnés ici d’une partie des bulletins de La Nature pour compléter au mieux la série.

Tableau par ordre chronologique depuis le XVe siècle des hivers, des étés et des crues de la Seine remarquables
Revenir en haut