Météorologie et climatologie

La plupart des stations météorologiques françaises n’effectuent chaque jour qu’une seule mesure de la pluie. A l’observatoire du Puy-de-Dôme on possède, pour une période de dix années, de 1875 à la fin de 1894, des observations pluviométriques effectuées toutes les trois heures depuis 6 heures (...)

Tout le monde a pu remarquer que le phénomène de la pluie est fort variable [1] suivant les localités que l’on considère. En France, il pleut souvent dans certaines régions, rarement dans quelques autres. Quand la pluie tombe, ici elle est très faible ; là, elle est tellement forte qu’elle (...)

En octobre 1891, Thomas George Hodgkins esq., de Setauket (New-York), fit à l’Institution smithsonienne de Washington, société savante la plus renommée des États-Unis, une donation considérable dont le revenu doit être pour une large part employé à « l’accroissement et à la diffusion de (...)

On peut lire dans tout calendrier : 24 juillet, j. c, et 26 août, f. j. c. Ce qui signifie que les jours caniculaires commencent le 24 juillet et prennent fin le 26 août. Le calendrier ne se sera pas trompé cette fois. La canicule ne passera pas inaperçue en 1893. Elle a débuté gentiment, avec (...)

D’après Nature du 7 mai 1903. M. W. Lockyer vient, sous ce titre, de publier une note que nous croyons utile de reproduire dans ses traits essentiels : « Le fait, dit-il, que, pendant les dix dernières années au moins, la quantité d’eau tombée dans les diverses régions de la surface du globe (...)

Au début de l’hiver 1901-1902, les lecteurs de La Nature liront peut-être avec quelque intérêt une esquisse météorologique de l’hiver de 1801-1802. Nous en donnons ci-dessous les traits principaux d’après les manuscrits d’Adanson. Décembre 1801 — Ce mois a été peu froid de 4 degrés moiens (...)

M. Hoffmeyer, le savant directeur de l’Institut météorologique danois, vient de publier un mémoire très intéressant où il examine la possibilité de prévoir le temps à plus longue échéance à l’aide d’un réseau télégraphique convenablement disposé. Tout d’abord l’auteur rappelle que dans notre (...)

Je vois signalé dans la Revue scientifique du 21 janvier 1893, comme une anomalie météorologique ce fait que les froids de fin décembre sont survenus avec un baromètre bas, tandis que la température s’était maintenue précédemment élevée avec baromètre très haut. Je sais, en effet, que l’on (...)

Les observatoires météorologiques d’une certaine importance possèdent en général une tour massive, en maçonnerie ou en charpente, à surfaces planes ou cylindriques , destinée à placer à diverses hauteurs les instruments d’observation. Ce mode d’installation laisse beaucoup à désirer. La masse (...)

Bien des fois j'ai été délégué par la Société d'histoire naturelle de Colmar pour être l'un de ses représentants aux réunions annuelles des Sociétés savantes de la province. C'est même sous les auspices d'une de ces délégations que j'ai fait, pour la première (...)

Ces bilans ont été publiés dans les revues La Nature et Revue Scientifique

La Revue Scientifique a publié toutes les semaines de 1886 à 1914 des bulletins météorologiques. Ces bulletins étaient un résumé du Bulletin international du Bureau central météorologique de France. Ils sont accompagnés ici d’une partie des bulletins de La Nature pour compléter au mieux la série.

Tableau par ordre chronologique depuis le XVe siècle des hivers, des étés et des crues de la Seine remarquables
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